C’est la question qu’on a reçue à peu près 15 000 fois :

“les chaussettes sont imperméables ! Mais… on ne transpire pas dedans ?”

Et bien non.

promis, vous n’allez pas puer des pieds ! 

 

On peut tout à fait avoir des produits imperméables et respirants.

On vous explique :

La respirabilité

La mesure MVTR (pour Moisture Vapour Transmission Rate) correspond au taux de transmission de la vapeur d’eau.

 

Elle calcule tout simplement la quantité d’eau (sous forme de vapeur) que le matériau laisse passer en 24h.

 

Plus ce chiffre est élevé, plus la respirabilité du tissu est bonne.

 

La MVTR s’exprime en g /m2 / 24 h : soit la quantité de vapeur d’eau évacuée par une surface d’1 m2 de tissu en une journée.

 

Quelques ordres de grandeur :

=> 5 000 g/m2/ 24h, le vêtement est peu respirant

=> à 10 000, le vêtement est dit respirant

=> à 20 000, on considère que le vêtement a une très bonne respirabilité.

=> à 30 000, le vêtement est extrêmement respirant.

 

Nos chaussettes sont à 38 000 G/M2/24H

Nos chaussettes sont prévues pour la vraie vie, même quand il fait chaud 🙂

 

L’imperméabilité

On place le matériau sous une colonne d’eau et on détermine à partir de quelle hauteur d’eau les premières gouttes passent au travers du tissu.

 

Plus la hauteur d’eau nécessaire est importante, plus le tissu sera imperméable.

L’unité qui sert à mesurer l’imperméabilité d’un tissu est le Schmerber.

 

1 Schmerber correspond à une hauteur d’eau de 1 mm

 

Un vêtement qui a une valeur d’imperméabilité de de 10 000 Schmerber, résiste donc à une colonne d’eau de 10 000 mm avant de laisser passer l’eau… soit 10 m d’eau !

 

Un résultat de 10 000 Schmerber est gage d’une imperméabilité très efficace !

La plupart des vêtements imperméables ont cette valeur.

 

Nos chaussettes sont à 15 000 Schmerber, 

soit une colonne d’eau de 15 mètres !

Vous pourrez jouer au sous-marin avec vos chaussures 🙂

On a prévu nos chaussettes pour la vraie vie, qu’il fasse chaud ou froid, qu’il fasse beau ou qu’il pleuve.